Quand vos articulations vous font mal, êtes-vous du genre à « faire avec » ?

Je vous pose cette question car j’ai observé que la plupart des gens qui ont mal aux articulations préfèrent poser un voile dessus, pour « ne pas embêter le monde avec ça ».

C’est tout à leur honneur. Et c’est aussi une grave erreur.

En France, chaque année, on pose environ 140’000 prothèses de hanche. 96’000 prothèses du genou. Et 12’000 prothèses de l’épaule. (1)

Sûrs d’eux, les médecins présentent souvent ces interventions comme des « opérations de routine ».

Mais peut-on vraiment parler de routine lorsqu’on ouvre au scalpel votre hanche, votre genou ou votre épaule….

Qu’on enlève vos cartilages….

Qu’on pousse vos os pour faire de la place….

Que l’on insère une pièce métallique ou en plastique à l’intérieur de votre articulation….

Et qu’on la fixe avec du ciment ? (2)

Je ne suis pas chirurgien mais si vous voulez mon avis, cela ressemble à tout SAUF à une opération de routine ! Et ce n’est pas fini…

La liste des complications possibles fait froid dans le dos

Le CHU de Nice liste sur son site Internet tous les risques qui peuvent intervenir lors de la pause d’une prothèse. (3)

Il s’agit d’un texte censé rassurer les patients à qui l’on propose cette intervention. Pourtant, cette liste des complications possibles est longue comme le bras ! En voici quelques extraits :

  • Hémorragie interne, fracture, paralysie, crise cardiaque ! Ce ne sont là que quelques uns des risques encourus pendant l’opération : complication pulmonaire, cardiaque ou digestive pouvant entraîner la mort du patient. Blessure vasculaire responsable d’une hémorragie nécessitant une transfusion sanguine et/ou une intervention chirurgicale vasculaire. Lésion d’un nerf pouvant entraîner une paralysie transitoire ou définitive. Fractures osseuses en cas d’os fragilisé ou décalcifié. Rupture tendineuse et/ou ligamentaire.
  • Infections aigües, phlébite, embolie pulmonaire ! Après l’opération, il y a un risque d’infection de la zone opératoire nécessitant une réintervention chirurgicale avec ablation de la prothèse qui a été posée. (4) Il y a également un risque de formation et migration d’un caillot sanguin causant une phlébite ou une embolie pulmonaire.
  • Augmentation des raideurs et des douleurs – sans explication ! Des calcifications dans la capsule ou dans les muscles peuvent diminuer la mobilité articulaire. La persistance de douleurs est parfois constatée sans explication, même quand la prothèse est bien posée.
  • Vous pourriez vous retrouver avec une jambe cassée ou plus courte que l’autre ! Une différence de longueur des membres inférieurs ne peut être évitée avec certitude. Certaines pièces de la prothèse peuvent parfois être le siège d’une fracture. Il s’agit en général d’un défaut de conception ou de fabrication de la prothèse. Une nouvelle intervention est obligatoire pour effecteur le remplacement de la pièce cassée.

Et pour conclure, le CHU de Nice précise bien sur son site que « Les risques énumérés ne constituent pas une liste exhaustive »

Nous voilà bel et bien rassurés !

En plus des risques encourus, le problème est que l’on vous pose d’une prothèse une fois que votre cartilage est complètement détruit.

Ne serait-il pas plus logique, plus efficace et moins traumatisant de vous proposer une solution pour protéger vos cartilages tant que vous en avez encore ?

Bien sûr que oui ! Et c’est la raison pour laquelle il est si important de vous occuper maintenant de vos articulations. C’est d’autant plus vrai que les découvertes scientifiques permettent d’obtenir des résultats encore inimaginables il y a quelques années.

Par exemple, de nouvelles études montrent qu’il existe une substance naturelle que votre corps et vos articulations reconnaissent et utilisent pour redémarrer le cycle de formation du cartilage.

Cette nouvelle découverte met en lumière la manière dont nos intestins sont connectés à nos articulations. Cela paraît bizarre à première vue mais cette découverte ouvre une voie extrêmement intéressante pour soulager les articulations douloureuses.

Pour comprendre ce lien entre vos intestins et vos articulations, nous devons faire un détour par votre passé.

Rappelez-vous…  

Lorsque vous étiez enfant, vous pouviez marcher, courir, sauter et faire tout ce que vous vouliez sans ressentir la moindre douleur.

Ce qui serait pour vous aujourd’hui un miracle était alors quelque chose de parfaitement normal et naturel. Vos articulations étaient souples. Elles bougeaient librement. Elles étaient indolores. Et vous viviez sans jamais vous en soucier.    

Aujourd’hui, les scientifiques sont capables d’expliquer pourquoi les choses ont changé : lorsque vous étiez beaucoup plus jeune, votre corps fabriquait notamment de grandes quantités de collagène, une protéine essentielle pour que vos articulations bougent librement.

Le collagène est comme le ciment naturel qui fait tenir ensemble les différentes briques de vos articulations. Il colmate les lésions de vos cartilages et de vos tendons. Il leur donne leur résistance et leur élasticité.

Moins vous fabriquez de collagène, plus vos articulations vieillissent  

Nous sommes tous nés avec la capacité de fabriquer naturellement ce collagène dont nos articulations ont tellement besoin.    

Le problème est que, au fil des années, nous perdons progressivement cette faculté. Et c’est pourquoi, à partir d’un certain âge, des gênes et des douleurs apparaissent dans nos articulations. C’est un phénomène naturel et nous y sommes tous confrontés à un degré plus ou moins grave.

Toutefois, bien qu’il s’agisse d’un phénomène naturel, il est possible de changer les choses.

Imaginez maintenant que votre corps puisse à nouveau fabriquer le précieux collagène qui nourrit, protège et régénère naturellement vos articulations, que se passerait-il ?

Ce serait comme une véritable cure de jouvence pour chacune de vos articulations, en particulier celles qui vous font le plus souffrir !   

C’est la raison pour laquelle des scientifiques ont étudié en profondeur le processus de fabrication du collagène dans notre corps et ils ont fait cette découverte fondamentale :

Le secret pour soulager vos articulations se trouve… dans votre intestin !    

De nouvelles recherches ont révélé que des plaques présentes dans votre intestin peuvent saboter votre production de collagène et détruire vos articulations.

Ces plaques s’appellent les « plaques de Peyer » car elles ont été découvertes par Johann Peyer, un anatomiste suisse né en 1653. (5)

Vous avez environ une centaine de plaques de Peyer dans le tissu lymphoïde de votre intestin. Ces plaques minuscules agissent comme des agents de sécurité qui filtrent les bactéries et les virus, ce qui est une bonne chose.    

Malheureusement, à mesure que vous vieillissez, vos plaques de Peyer peuvent devenir incontrôlables et elles n’arrivent plus à faire la différence entre les substances saines et les substances dangereuses qui entrent dans votre corps.    

Résultat : vos plaques de Peyer barrent la route au collagène alors que vos articulations en ont absolument besoin pour se régénérer !

Ce phénomène expliquerait en grande partie pourquoi dès 40 ans, vos réserves en collagène ont déjà diminué de 30 %. À 50 ans, de 45 %. À 60 ans, de 60 % et ainsi de suite…    

La bonne nouvelle est que des chercheurs de la prestigieuse université de Harvard ont trouvé une solution simple à ce problème complexe : il suffit d’ingérer une petite quantité de « collagène UC-II® », un nutriment breveté qui agit comme un sésame pour relancer votre production de collagène.  

Ce nutriment agit comme un sésame pour libérer le collagène dont vos articulations ont besoin

Grâce à sa forme en filaments, le collagène UC-II® réussit à passer le barrage dressé par vos plaques de Peyer dans votre intestin. 

Ainsi, votre corps réapprend à reconnaître le collagène comme étant une substance bénéfique pour vos articulations. Il se remet alors à fabriquer son propre collagène. Il recommence également à sécréter des cytokines anti-inflammatoires pour protéger votre cartilage. (6)  

Ce cercle vertueux enclenché par le collagène UC-II® contribue à renforcer vos articulations… à les protéger contre les chocs… et à soulager vos douleurs de plus en plus profondément.   

Depuis 2009, des études cliniques ont été menées pour vérifier les bienfaits du collagène UC-II®. Regardez, les résultats sont bluffants :   

  • Plus efficace que la glucosamine et la chondroïtine réunies ! En 2016, 191 volontaires souffrant de douleurs articulaires sévères ont consommé pendant 180 jours soit 40 mg d’UC-II®, soit une combinaison de glucosamine (1500 mg) et de chondroïtine (1200 mg), soit un placebo. Les résultats indiquent que le collagène UC-II® est plus efficace que le placebo ET plus efficace que la combinaison de glucosamine et de chondroïtine pour réduire les douleurs articulaires, diminuer la rigidité et améliorer la mobilité articulaire. (7)
  • Des personnes souffrant d’arthrose sévère ont pu à nouveau monter et descendre les escaliers sans douleurs : Une étude publiée en 2013, a été menée sur 46 volontaires qui rapportaient des douleurs aux genoux lorsqu’ils montent les escaliers. Les volontaires ont consommé soit un placebo soit 40 mg de collagène UC-II® pendant 120 jours. Par rapport au placebo, le collagène UC-II® améliore l’extension du genou et diminue les douleurs. Dans ce groupe, 5 personnes ont même rapporté ne plus ressentir aucune douleur. (8)
  • Des patients souffrant de rhumatismes se sont sentis soulagés en moins de 3 mois ! Deux études cliniques ont montré qu’une faible dose de collagène de type II peut être efficace. Dans l’une de ces études, 60 patients ont eu les articulations moins gonflées et moins douloureuses. 4 patients ont même connu une rémission complète de leurs symptômes après seulement trois mois de supplémentation ! (9)

Le collagène UC-II® est 100% naturel et sans effets secondaires : une étude de toxicologie très complète a été publiée en 2009 et les résultats indiquent que la prise de 40 mg par jour ne présente aucune toxicité. (10)

Dernier point important 

Le collagène UC-II® est produit uniquement aux Etats-Unis et son procédé de fabrication est protégé par plusieurs brevets. (11)

Pour pouvoir le commercialiser, les vendeurs doivent obtenir une autorisation spéciale délivrée par le fabricant. Peu de laboratoires obtiennent cette autorisation car il faut garantir un haut niveau de sérieux et de qualité dans les formulations élaborées.

C’est la raison pour laquelle, en France, les produits contenant du collagène UC-II® sont rares mais trouvables sur certains sites Internet. Si vos articulations vous font souffrir depuis longtemps, personne ne peut vous garantir à 100% que la prise de collagène UC-II® vous soulagera définitivement. Toutefois, les résultats obtenus lors de ces études sont suffisamment convaincants pour tenter l’expérience pendant 3 à 6 mois minimum.

Prenez soin de vous,

Léopold Boileau, Votre correspondant

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Sources

1 Revue de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. Volume 102, Issue 7, Supplement, November 2016, Pages S163-S164. Incidence des ostéosynthèses des membres en France. Patrice Papin Eric Berthonnaud. https://doi.org/10.1016/j.rcot.2016.08.210

2 http://www.chirurgie-orthopedique-nice.com/arthrose_prothese_genou.html

3  http://www.chirurgie-orthopedique-nice.com/arthrose_prothese_genou.html

4 http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/06/13/25088-infection-sur-protheses-rares-mais-parfois-redoutables

5 https://www.encyclopedia.com/science/dictionaries-thesauruses-pictures-and-press-releases/peyer-johann-conrad

6 D. Bagchi et al., « Effects of orally administered undenatured type II chicken collagen against arthritic inflammatory pathologies: a mechanistic exploration », Int J Clin Pharm Res 22, no 3‑4 (2002): 101–10Crowley.

7 James P. Lugo, Zainulabedin M. Saiyed, et Nancy E. Lane, « Efficacy and tolerability of an undenatured type II collagen supplement in modulating knee osteoarthritis symptoms: a multicenter randomized, double-blind, placebo-controlled study », Nutrition journal 15, no 1 (2016): 14.

8 James P. Lugo et al., « Undenatured type II collagen (UC-II®) for joint support: a randomized, double-blind, placebo-controlled study in healthy volunteers », Journal of the International Society of Sports Nutrition 10, no 1 (2013): 48.

9 Kathryn Lea Sewell, David A. Hafler, et Howard L. Weiner, « Effects of oral administration of type 11 collagen on rheumatoid arthritis », Science 261 (1993): 1727.

Martha L. Barnett et al., « Treatment of rheumatoid arthritis with oral type II collagen: Results of a multicenter, double-blind, placebo-controlled trial », Arthritis & Rheumatology 41, no 2 (1998): 290–297.

10 Palma Ann Marone et al., « Safety and toxicological evaluation of undenatured type II collagen », Toxicology mechanisms and methods 20, no 4 (2010): 175–189.

11 U.S. Patents 7,846,487, 7,083,820 and EPO Patent EP1435906B1; Canadian patent CA 2459981C; and Japanese Patent JP 4800574B2

12 Methyl-sulfonyl-methane (MSM), a double blind study of its use in degenerative arthritis (A Preliminary Correspondence) By Ronald M. Lawrence, M.D., Ph.D. Assistant Clinical Professor U.C.L.A. School of Medicine Los Angeles, California.

13 https://www.thierrysouccar.com/sante/info/arthrose-le-methyl-sulfonyl-methane-msm-est-il-efficace-2455

14 Toshihide Sato et Hiroshi Iwaso, « An Effectiveness Study of Hyaluronic acid [Hyabest®(J)] in the Treatment of Osteoarthritis of the Knee on the Patients in the United States », J New Rem & Clin 58, no 3 (2009): 249–256.

15 Sengupta & al., A double blind, randomized, placebo controlled study of the efficacy and safety of 5-Loxin for treatment of osteoarthritis of the knee” Arthritis Res Ther. 2008;10(4):R85. doi: 10.1186/ar2461. Epub 2008 Jul 30.

16 Orthop J Sports Med. 2017 Jun; 5(6): 2325967117711376. Vitamin D and Its Effects on Articular Cartilage and Osteoarthritis. Rachel J. Garfinkel, BS,* Matthew F. Dilisio, MD,† and Devendra K. Agrawal, PhD, MBA, MS(ITM), FAAAAI, FAHA, FAPS, FIACS