Pour votre santé, rien ne vaut un bon docteur.
Je vois le mien régulièrement. Et je m’appuie sur le travail de médecins brillants pour écrire les lettres que je vous envoie.
Mais avouons-le, il n’est pas si facile de trouver un bon médecin.
Voici une histoire que j’ai vécue. J’espère qu’elle vous sera utile.
C’était il y a longtemps. Je venais de finir des examens à l’hôpital, lorsque le médecin est entré et a dit…
“Il faut qu’on cherche encore, c’est peut-etre une tumeur”
J’avais 30 ans. J’étais jeune marié. J’étais mort d’inquiétude.
Ce jour-là, je suis reparti de l’hôpital avec un rendez-vous pour des examens complémentaires et un traitement antibiotique.
Quelques semaines plus tard, j’étais chez ma belle-famille à la campagne, toujours dans l’attente de savoir si mes douleurs étaient dues à une tumeur.
Un matin, je me rends chez le médecin du village pour qu’il renouvelle mon ordonnance d’antibiotiques. Je crois en avoir pour 5 minutes. J’y reste deux heures.
Ce médecin, que je rencontre pour la première fois, me demande : « Pour quelle raison prenez-vous ces antibiotiques ? »
Je lui explique. Les terribles douleurs dans le bas-ventre apparues du jour au lendemain. Le spécialiste qui soupçonne une tumeur. Le traitement antibiotique en attendant la suite des examens.
C’est là que tout a basculé – – lorsque ce médecin de campagne que je voyais pour la première fois m’a posé cette question :
« Racontez-moi ce qui s’est passé ***AVANT*** que vous ne ressentiez ces douleurs ? »
Cette question en apparence anodine a pourtant suffi pour révéler que… je n’avais pas de tumeur !
Mes douleurs avaient été provoquées par un traitement antibiotique que j’avais suivi quelques semaines auparavant pour soigner une vilaine sinusite. En cherchant une tumeur et en renouvelant les ordonnances d’antibiotiques, le spécialiste que j’avais vu à l’hôpital faisait fausse route et ne faisait qu’aggraver ma situation.
Je suis sorti du cabinet de ce médecin sans ordonnance cette fois et avec l’ordre formel d’arrêter sur-le-champ ces antibiotiques.
Résultat : le lendemain j’avais moins mal. Une semaine plus tard, je n’avais plus aucune douleur !
Ce médecin de campagne était-il un génie de la médecine caché dans ce petit village de province ? Avait-il inventé une machine de diagnostic extraordinaire ? Etait-il un puissant magnétiseur ?
Non. Non. Et… non. Alors quoi ? Quel était son secret ?
Comment a-t-il percé le mystère de mes douleurs alors que les meilleurs spécialistes s’étaient lourdement trompés ?
En vérité, ce médecin avait une qualité aussi rare que précieuse
Cette qualité, c’est l’empathie.
Ce penchant naturel et spontané permet à une personne de partager les joies, les peines, les soucis, les douleurs d’une autre personne.
Cette qualité n’a rien à voir avec les diplômes ni les compétences scientifiques ou l’expérience professionnelle de votre médecin. Il va sans dire que ces qualités sont indispensables.
Pourtant, je crois que l’écoute et l’empathie sont la première qualité que vous devez trouver chez votre docteur.
Car s’il ne s’intéresse pas à ce qui vous arrive, comment peut-il vraiment vous aider ? S’il ne vous écoute pas – – s’il ne prend pas le temps nécessaire pour comprendre ce qui va mal et pour trouver ce qui vous guérira – – comment peut-il être un bon médecin ? Dans mon cas, il a suffi de prendre le temps de remonter le fil des événements pour comprendre ce qui m’arrivait et pour que je guérisse en un rien de temps ces douleurs qui me gâchaient la vie depuis des semaines.
Mais peut-être que vous vous dites que votre médecin n’a plus le temps pour cela ? Il est débordé par ses consultations. Sa paperasse. Les directives complexes du Ministère de la Santé… Tout ceci est bien réel. Depuis plusieurs années, quand 4 médecins partent à la retraite, un seul les remplace. [1]
En France, la pénurie des médecins est un désastre humain, sanitaire et social. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je vous encourage régulièrement à devenir votre premier médecin.
Intéressez-vous à ce qui se passe dans votre corps
Quand vous allez bien. Quand vous allez mal. Soyez à l’écoute de votre corps et de vos émotions.
Informez-vous sur les maladies et sur les remèdes qui existent, exactement comme vous le faites lorsque vous lisez les lettres que je vous envoie.
Faites des expériences – – commencez par votre alimentation car elle est notre première médecine : quand vous mangez tel ou tel aliment, allez-vous mieux ? Allez-vous moins bien ?
Diriez-vous que vous dormez bien ou mal ? Comment vous sentez-vous lorsque vous êtes en vacances ? Lorsque vous pratiquez une activité physique ? Lorsque vous prenez tel ou tel complément alimentaire ?
Observez ce qui se passe dans votre corps. Plus vous donnerez des informations précises à votre médecin sur ce qui se passe dans votre corps, mieux il pourra vous soigner.
Cette communication entre votre corps, vous et votre médecin est primordiale pour votre santé. Les erreurs médicales sont la 3ème cause de mortalité en France. On parle d’au moins 60’000 décès chaque année à cause d’erreurs médicales ! Selon Sadek Beloucif, président du Syndicat national des médecins et chirurgiens des hôpitaux publics (Snam-HP), une grande partie de ces drames pourrait être évitée, simplement grâce à… « une meilleure communication ». Entre votre médecin et vous. Entre votre pharmacien et vous. Et bien sûr, grâce à une meilleure communication entre eux. [2]
Votre médecin vous écoute-t-il vraiment ?
Posez-vous cette question honnêtement.
Si vous avez l’impression que votre médecin n’est pas suffisamment à votre écoute, pourquoi ne pas aller voir un autre médecin ? Qu’est-ce qui vous en empêche ? Je suis certain qu’il y a un médecin à l’écoute près de chez vous et vous méritez de faire sa connaissance.
L’être humain n’est pas un objet que l’on répare en suivant un guide de maintenance. Chaque personne est unique. Vous êtes unique. Vous devez sentir cela lorsque vous êtes en présence de votre médecin, dans l’intimité de son cabinet médical. Cette relation entre votre médecin et vous est tellement importante !
Si un médecin vous rencontre pour la première fois, il devrait prendre le temps de vous écouter, de vous poser des questions sur vous. Votre vie quotidienne. Votre histoire. Votre alimentation. Votre santé. Les maladies que vous avez eues. Les traitements que vous avez suivis. Tous ces sujets devraient être abordés par un médecin qui vous rencontre pour la première fois.
En langage médical, on parle de « l’anamnèse ». Ce terme vient du grec ancien « anamnêsis », qui signifie littéralement « action de rappeler à la mémoire ». Votre médecin doit être votre guide dans ce travail. En vous posant les questions. En écoutant vos réponses. Pour faire votre diagnostic. Pour vous proposer les traitements les mieux adaptés à vos besoins.
Le médecin canadien William Osler, l’un des précurseurs de la médecine moderne, disait d’ailleurs : « Écoutez attentivement le malade, il vous dit le diagnostic ! » [3]
Et si votre médecin vous connaît depuis des années ?
Il devrait continuer à s’intéresser à toutes ces choses qui sont essentielles pour votre santé.
Être vigilant à ce qui se passe dans votre corps et dans votre vie. Eviter à tout prix de tomber dans la routine. Car votre santé évolue en permanence.
J’ai le souvenir que mon beau-père était devenu ami avec son médecin. Lorsqu’il avait besoin de le consulter, son médecin lui disait : « Viens me voir en fin de journée, comme ça on aura le temps de discuter et de rigoler un peu. » La consultation était devenue une routine. La relation amicale avait pris le dessus sur la relation patient-médecin. Mon beau-père, qui se plaignait depuis plusieurs années de différents troubles, est décédé à 63 ans d’une maladie du foie. Son médecin ne lui avait jamais prescrit ni examen, ni traitement pour son foie alors qu’ils se voyaient régulièrement depuis des années.
Chaque consultation chez votre médecin est un moment clé pour votre santé. Ce n’est jamais véritablement une « visite de routine ».
Gardez votre esprit critique
Pour trouver un bon médecin ou un bon spécialiste, on a tendance à se fier à ce que disent les gens autour de vous.
C’est naturel. D’autant plus que vous trouverez souvent des personnes de votre entourage qui trouvent que leur médecin est « formidable ». Peut-être qu’il l’est. Peut-être pas. Si on vous conseille un médecin, tant mieux, allez le voir. Mais faites-vous votre propre opinion. Ayez confiance en votre propre jugement.
Ne vous laissez pas impressionner par la réputation d’un médecin ou le titre inscrit sur la porte de son cabinet. J’ai le souvenir d’une amie qui est allée voir une grande ponte de la dermatologie à Paris. Elle souffrait d’un eczéma grave et sur tout le corps. C’est sa tante, elle-même dermatologue, qui lui avait recommandée cette spécialiste : « Va la voir, c’est la meilleure. » Mon amie y est allée. Elle raconte : « J’attendais tellement de ce rendez-vous ! En fait, il a duré 2 minutes. Elle ne m’a posé aucune question. Elle ne m’a même pas demandé d’enlever mon pull pour voir mes plaques ! Je suis repartie avec une ordonnance pour un médicament que j’avais déjà eu et qui n’avait eu aucun effet. »
La prochaine fois que vous voyez votre médecin, posez vous ces questions
Votre médecin vous écoute-t-il vraiment ?
Avez-vous l’impression de pouvoir lui adresser les questions que vous vous posez ? Est-il ouvert à vos suggestions ? Prend-il en compte votre avis ? Explique-t-il volontiers les examens ou les traitements qu’il vous propose ?
Posez-vous ces questions sincèrement, objectivement, sans peur.
Ce n’est pas une méthode scientifique. Mais ces questions vous aideront grandement à savoir si vous avez trouvé un bon médecin.
Et si vous faites face à une maladie grave ou dont le diagnostic est complexe, pourquoi ne pas demander l’avis d’un deuxième médecin qui vous regardera avec un oeil neuf ?
Prenez soin de vous,
Léopold Boileau,
Votre correspondant
P.S. : sur le blog Explora Santé, Pascal a écrit ce commentaire qui fait écho à la lettre d’aujourd’hui :
« La médecine allopathique est devenue un centre de mécaniciens hautement performants et les médecins et généralistes (pour un certain nombre) des ordonnanciers car ils n’ont plus le temps d’écouter la personne devenue le patient ! Bien triste sort pour une profession de première utilité et de relationnel incontournable. »
Qu’en pensez vous ? Quelles expériences extraordinaires avez-vous vécues avec votre médecin ? Quelles expériences désastreuses avez-vous connues ? Partagez-les en commentaire ici !
Sources
[1] https://blogs.mediapart.fr/la-science-au-xxi-siecle/blog/070218/manque-de-medecins-et-catastrophe-sociale-i-0
[2] http://www.leparisien.fr/societe/erreurs-medicales-a-quand-une-vraie-transparence-23-11-2017-7409415.php
[3] https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=anamnese
Moi, c’est encore plus grave….
ce sont les médecins d’expertises médicales judiciaires et avocats, les miens comme ceux de la partie adverse et l’expert judiciaire du tribunal qui n’écoutent pas, comme certains spécialistes où j’ai eu , comme vous, l’impression de bâclé, mais pire encore pour la justice de mon pays, la Belgique, la disparition de preuves essentielles pour mes dires et ma santé….
Le chirurgien expert de la partie adverse s’est même plaint “qu’on écoutait trop et qu’on ne faisait qu’écouter la victime”!!!!
Alors, dix ans de procès judiciaire belge pour en arriver à la conclusion que deux éminents chirurgiens avaient déjà énoncés, eux qui m’avaient écoutés, trois et sept ans plus tôt…
Quel énorme gaspillage de temps et d’argent pour le milieu médical et l’argent des concitoyens de mon pays…
Sans compter qu’après une chute sur une énorme flaque de détergent non nettoyé et non signalé, non visible dans une foule de consommateurs d’une grande surface à un moment d’affluence, ils n’ont pris en compte , au cours de ces DIX ANNEES, aucun compte de mes autres SYMPTOMES qui pourtant, sont présents depuis tout ce temps et ont fait l’objet de nombreuses attestations par des médecins et spécialistes qui EUX, ont pris le temps d’ECOUTER, avec EMPATHIE….
Alors,…
votre article et la justesse de ce commentaire trouvent vraiment en moi une résonnance et une raisonnance toutes particulières
Mon médecin d avant on était bien ensemble. Il venait me voir régulièrement, n ayant pas de voiture. Et à sa retraite il m a envoyé à sa remplaçante, une belle garce sans empathie pour personne sauf pour elle-même. Et à ma 1ère visite elle me dit d emblee, “surtout je ne me déplace pas, jamais”. Ça fait froid dans le dos. J y vais plus. Et ts les médecins ici à Pithiviers, partent en retraite. Comment faire ? Surtout qd on ne conduit pas. Je vois un psy, c est tout. Et au moment où je vous écrit je suis hospitalisée, à cause d une ts, je voudrais bien ravoir un généraliste. Mais comment et où ? Merci de me lire.
un cardiologue m’a diagnostiqué et donné un traitement pour hypertension, je lui ai fait voir mes prises de tensions,prises avec un tensiometre OMRON, il a dit vous faite de l’hypertension et m’a prescrit du bisoprolol,je ne l’ai pas pris car je voyais que je faisais de l’hypotension
au bout d’un mois et après la mesure d’une MAPA de 24h, il m’a téléphoné d’arreter le medicament
vexé sans doute il a écrit au chirurgien, et au medecin tratant ,que mes prises de tension n’étaient pas fiables
bien sûr je ne le consulterai plus
Bonjour,
Je suis médecin, enfin, je l’étais, et j’adhère entièrement à votre point de vue. La difficulté pour nous, laquelle rend cette situation ingérable, est assujettissement au côté financier, avec des taxes et des charges démesurées qui rendent impossible cette première nécessité qui est de prendre le temps, si nous voulons comme le recommandait Hippocrate “en premier, ne pas nuire”. Ensuite, il y a une foule d’intermédiaires avec de petits ou plus grands pouvoirs qui sont venus s’immiscer dans la relation patient-médecin, ce (soi-disant) “colloque singulier” tels que la sécurité sociale, les agences de santé et l’ordre des médecins (qui nous dictent aujourd’hui ce que doivent être nos “bonnes pratiques”). Ce qui fait qu’il n’y a désormais plus une once d’indépendance professionnelle dans ce métier. Et de fait, lorsque vous êtes pris à la gorge par la “planche à billet” pour couvrir des charges toujours plus démentielles, vous n’avez plus la disponibilité intérieure et la sérénité nécessaires à la pratique de ce métier : vous ne pensez plus qu’à combler le déficit de votre compte professionnel qui reste et restera toujours à moins 3000 euros de découvert quoi que vous fassiez pour le remplir. Dernièrement, j’avais cru trouver un compromis honorable en co-créant un centre municipal de santé avec une des communes voisines de mon domicile et qui salarierait le médecin que j’étais afin de garantir ma disponibilité d’esprit. Hélas, dès le lendemain de l’inauguration, alors que j’avais fidélisé déjà plus de 1500 nouveaux patients en moins d’un an, mes ex-partenaires de co-création se sont révélés sous leur véritable jour : des apparatchiks avides de petit pouvoir et désireux de m’imposer leur subordination et leur vision formolée de la médecine, une médecine de paperasse totalement dévitalisée et déconnectée du réel, au prétexte qu’ils étaient devenus mes employeurs : j’ai donné ma démission du jour au lendemain. Depuis, je désespère de pouvoir créer les conditions propices à une relation médecin-patient digne de ce nom et telle que vous la décrivez. Je reste néanmoins docteur, c’est mon inaliénable titre et civilité, mais je rêve de proposer mes services en tant que magnétiseur ou que sais-je, enfin, quelque chose du genre libéré de toute pesante étiquette, mais ceci est bien sûr un rêve…
Va chercher ta chance, si tu garde un peu d’espérance, tu l’auras…
Va chercher ton rêve, chaque jour nouveau qui se lève est à toi…
Ce sont les paroles d’un dessin animé japonais que mes enfants suivaient quand ils étaient petits….
Chaque fois que je suis découragée en tant que victime dans mon procès médical, je pense à cette chanson ou à celle de Grégory Lemarchal ‘Et je me relève sous ton regard…”
Et je me dis qu’il a dû souffrir bien plus que moi, et bien d’autres aussi…l
Alors…..
Je pense à tous es médecins qui eux, ont été super avec moi en tant que patiente….
Retrouver l’essentiel des valeurs quand on touche le fond, et pouvoir avoir la force de rebondir grâce au bonheur que l’on donne aux autres…
J’ai la chance d’avoir ce genre de relations avec mon médecin traitant, le kiné ostéopathe d’exception que j’ai choisi, mon rhumatologue,….
Ils sont autant de soutiens précieux dans l’épreuve médicale et judiciaire que je traverse en tant que victime….
Et je crois qu’en retour, on leur apporte beaucoup….
L’empathie est à double sens…
Alors, pour vous remonter les bretelles, dites – vous ‘Tous ces médecins à la petite semaine, cela ils ne ne le connaîtront jamais, ils n’auront jamais la joie de le connaître,… ils vivent dans la grisaille….
Et ce serment d’Hippocrate, je l’ai rappelé en en donnant un exemplaire à chacun des médecins présents lors de mon expertise judiciaire en Belgique !!!!
Avec empathie, bon courage et bonne persévérance…
Car c’est en persévérant qu’on parvient à changer les choses….
PS: mettez une annonce sur les réseaux sociaux… et vous trouverez peut-être une personne qui vous conviendra et pensera comme vous….. Ca marche souvent….
j’ai beaucoup apprécié votre lettre ce fut le cas de mon papa où nous avons changé de médecin 2 fois ce fut un scandale dans notre entourage mais nous l’avons fait quand même malheureusement ça n’a pas été mieux; Combien de médecins faut il voir pour en trouver un bon? Heureusement que mon compagnon avait quelques années d’ études de médecine et son empathie envers son beau père et sa curiosité ont évité bien des erreurs sachant que nous intervenions systématiquement quand une ordonnance nous gênait et nous posions des question.
je cours!! vers mes 78 ans, n’ayant jamais pratiqué le nomadisme médical j’ai été soignée par un médecin allopathique sérieux qui avait encore de l’écoute et ancien externe des hôpitaux de bons diagnostics.
En 1980 un problème digestif sérieux aux douleurs insupportables pour lesquelles toutes les investigations radiologiques ne révélaient aucune atteinte organique mais ne cédant à aucune des spécialités allopathiques prescrites me conduisit vers la médecine homéopathique ultime recours en toute méconnaissance totale de cette spécialité. Je rencontrai alors un jeune médecin homéopathe qui au bout de quelques semaines améliora mon état avec quelques remèdes et une hygiène alimentaire corrigée.
Six mois après ces douleurs insupportables avaient cédé et je n’ai plus jamais eu de troubles digestifs depuis… petite anecdote, dans toute assemblée de convives je suis la dernière à terminer mon assiette…
Malheureusement ce médecin qui avait tout ma confiance soignant mes proches, amis et autres personnes submergé par une vie difficile liée à sa conscience professionnelle et sa difficulté à gérer ses rendez vous, il pouvait accueillir ses patients jusqu’à 22 heures, décida de fermer en 2002 son cabinet pour se réorienter vers un poste de médecin du travail.
CATASTROPHE!!! Heureusement avant de partir il nous réorienta vers deux de ses confrères.
Je choisis l’un d’entre eux, lequel est toujours actuellement notre médecin familial.
La transition fut un peu difficile, la relation de confiance à construire et le deuil à faire.
Cependant au bout de quelques mois les similitudes d’écoute, de pratique, d’empathie ont entrainé l’adhésion de tous jusqu’à ce jour.
Seulement voilà le temps passe, notre médecin va prendre sa retraite et n’a personne à nous recommander d’où notre désarroi !!!
Il y a une vingtaine d’années, mon médecin qui avait encore le temps et pouvait répondre au téléphone, m’a sauvé la vie car il s’est déplacé pour venir me secourir. J’avais une torsion d’estomac qu’on appelle Volvulus. Il était pourtant 23 heures . Après une piqure de décontractant, il est resté avec moi jusqu’ au moment où ma douleur qui était à 10 est redescendue à 4. J’étais au bord du drame.Très résistante à la douleur, je sais m’auto-évaluer; du fait de notre confiance mutuelle, il m’a prise au sérieux .
Actuellement , avec les médecins de garde, qui ne se déplacent plus , je serais morte. Je plains cette profession qui n’est pas assez soutenue et corvéable à merci
Je suis entièrement d’accord avec votre commentaire, c’est pour cette raison que je préfère me soigner par mes propres connaissances et recherches.
La santé c’est la vie et je ne suis pas d’accord avec les médecins qui prétextent avoir trop de” paperasse administrative”pour ne pas avoir assez de temps à accorder à leur patients.
Leur étiquette de généraliste ne doit pas les soumettre à généraliser tout leur patients.
Bien à vous
Sylvie Ziani
Suite à une trop forte anesthésie faite par erreur, mon mari avait toutes les manifestations de la maladie de Parkinson.
Visite chez le renommé neurologue de la ville qui confirme la maladie.
Etant donné mon intérêt pour l’être humain et les possibles maladies dues à son vécu émotionnel ou à divers traumatismes psychiques, je commence à parler de l’enfance maladive de cet être fragile qu’était mon mari, pensant apporter des éléments utiles à une meilleure compréhension de son état.
Ce neurologue m’interrompit violemment en me criant “Taisez vous Madame, moi je soigne la maladie, la personne ne m’intéresse pas!”
Je me suis tue. Nous sommes partis avec une ordonnance classique de L-DOPA.
Heureusement, tous les médecins ne sont pas à cette image!
Comment a t’il osé ? On ne lui a pas appris que nous ne sommes pas uniquement un corps mais aussi un esprit et une âme, et que ces 3 parties sont inextricablement reliées ? Que la source de la maladie n’est pas seulement un microbe ou un virus exogène mais se niche parfois au fin fond de l’Etre ?Apparemment pas. Mais où est la médecine que j’ai apprise avec des maîtres qui étaient de formidables cliniciens et des humanistes ?
Comment détecte t’on une carence d’iode ? en analysant juste les hormones de la thyroïde ?
Que pensez vous de la cure de 3 semaines d’argile verte + des cataplasmes quand il y a des douleurs intestinales, pancréatiques ou hépatiques. Où placer les cataplasmes correctement ?
J’ai commencé une cure de desmodium pris comme histaminique et réparation des cellules du foie, prescrit par la naturopathe.
Je prenais de la glutamine activée en même temps et arrêté dès le premier jour trop d’effets indésirables. J’ai passé une très mauvaise nuit. Quelqu’un a t’il déjà testé ce complément alimentaire ? Merci à vous
IL y a un jargon médical et des comportements anxiogènes dans le domaine de la Santé (Public et Privé) et c’est hiérarchique.: Que ce soit dans le domaine Public et Privé. La confiance du patient(e) est mise à dure épreuve quand on est face au médecin qui a des propos et des comportements parfois anxiogènes. Et l’entourage hiérarchique médical aussi. Stress.
Ma doctoresse était une femme formidable qui prenait son temps à m’écouter, à discuter le problème avant de décider de m’envoyer faire des testes ou scans ou de prescrire des medicalents… Elle savait ce dont elle parlait. Elle a dédié sa vie à ses patients et malheureusement elle vient de partir à la retraite. Heureusement je suis en bonne santé à 68 ans et je sais que je ne retrouverai jamais un médecin de sa qualité. Merci
Bonjour,
Cela fait maintenant de nombreuses années que je me suis posé la question et que je me soigne avec des médecines alternatives (homéopathie, phytothérapie, acupuncture, ostéopathie) . Pourquoi cette prise de conscience ? Malheureusement car de plus en plus souvent maintenant une consultation chez mon médecin se fait à toute vitesse et celui-ci ne prend pas assez le temps de parler et d’approfondir (faute de temps peut être mais pas toujours).
Avec le manque de praticien de plus en plus criant cela ne s’améliore pas. Pourquoi ne forme-t-on pas les jeunes médecins à ces médecines alternatives comme dans d’autres pays ? Car ce serait remettre en question ce sacro-saint système si bien huilé (examens à outrance, opérations non justifiées et prescription massive de médicaments aux effets si redoutables). Tout cela pour une question d’argent et de profits au détriment de la santé des malades. D’ailleurs je constate que depuis quelques années, de plus en plus de personnes déçues par la médecine allopathique, se soignent de cette manière et c’est tant mieux ! Merci pour vos articles si intéressants, continuez !
comment faire baisser l acide urique
Pendant près de six ans…je suis passée pour une folle..hypochondriaque…bizarre..et j en oublie…pour une dysphonie spasmodique des bandes ventriculaires..je ne peux plus parler..seul un Orl recherchait les causes ,merci à lui …il avait compris que..quelques choses clochaient mais ??
Lorsque m était venue l idée.d electromyogramme niveau gorge..ma rhumato a souri et dit…cela n existe pas…je souffrais intensément..
Mes recherches !!mes!!!! Et enfin une association..amadys…qui m a sauvée…et ensuite un super orl..monsieur klap..mon sauveur qui enfin identifiait mon atteinte..extrêmement rare… donc? Les médecins ont ils des révisions annuelles sur les pathologies existantes ??????… ce serait l idéal…
Bonjour, déjà il faut trouver un médecin qui accepte un nouveau patient.
Bonne journée et bon courage.
Cet article est la meilleure école de l’auto médecine.
Je me suis guéri de beuacoup de maladies imaginaires suggérées par des médecins, créateurs d’hypocondrie, grâce à la connaissance personnelle de ma santé.
C’est comme ça que j’ai échappé à une “polyarthrite rhumatoïde” à un “cancer de poumon”, à une angioplastie, à un “cancer de colon” et à une prothèse de genou.
Soyez votre propre médecin et prenez un médecin qui ne vous infantilise pas.
personne mieux que vous saura ce qui se passe dans votre corps
j’ai prie du letrozobe de zentiva pour un cancer du sien qui m’a rendue malade avec des gros effets secondaires avant il y a eu une opéraration on a retire des racines cancéreuses les 2 boules non cancéreuses 15 séances de radiotherapie avec beaucoup d’arrêt entre les séances panne pour 8 jours jours ferie maintenance au bout de 3 mois j’arrêt ce medicament et le landemain j’ai retrouve un bien être je vie en martinique
en janvier2019 je suis opérée du cancer du sein on retire des racines cancéreuses les modules sont retire et sont sains on me fait 15 séances de radiothérapie avec beaucoup d’arrét entre les séances (jours ferie maintenance de l’appareil panne pour 8 jours )enfin on arrive a les faire ces 15 séances ensuite le cancerologue m’a annonçée je cite ( espérence de vie entre 5 a 15 ans)
me prescrit ce medicament letrozobe de zentiva au bout de 3 mois c’est l ‘ horreur des effets indésirables j’ai stopé et je vais très très bien
Là où je vis et semble-t-il dans de nombreux endroits, il est devenu très difficile de trouver ou changer de médecin, généraliste ou pas.
Le secrétariat nous répond “on ne prend plus de patients” ou “le docteur va partir à la retraite et n’est pas remplacé”.
Toutes les personnes à qui j’en parle ont le même discours, alors nous on fait comment ?
Bonjour, je ne dirais rien de plus que ce que vous avez dit ou décrit.
C’est hélas la pure vérité.
Surtout, comme vous le dites, ne pas transmettre mes coordonnées. Merci
bonjour,
non mon medecin ne m’écoute pas !!!!! cela fait 3 ans que j’ai un empoisonnement du sang revelé par un bilan sanguin j’essaie de l’alerter sur mes problemes de santé au quotidien mais rien ne se passe !!!!!
cela fait 4 fois que jke change de médecin et toujours rien !!!! quand j’alerte sur cet empoisonnement la réponse est : ” Oh il n’y a rien de grave ” j’ai de la fièvre tous les matins, j’ai le feu a l’intérieur du corps je ne peux pas vivre normalement je suis deplus extremement fatiguée !!!!!
C’est vrai qu’il faut faire attention, il y a quelques années j’avais mal sur le côté droit, au point que je ne pouvais respirer correctement sans douleur, donc je vais voir mon médecin qui me dit “Oui c’est une douleur inter-costal” je lui répond : “oui je m’en doute”, il va pour me donner des antalgiques, je lui dis “Vous savez c’est du côté de la vésicule, on pourrait peut-être faire une échographie, j’ai peut-être des calculs biliaires ” il m’a répondu : “Oui tu as raison”. Et voilà tout ça pour vous dire que j’ai posé mon propre diagnostic et qu’il était bon, je n’au plus de vésicule.
Remarque sur le titre de votre article: vs tombez ds l’erreur typique des gens qui confondent profession et titre universitaire…Comment trouver un bon MEDECIN SVP!
Aujourd’hui, les gens vivent dans la peur le maladie. Ce n’est pas la politique de la santé qui est appliquée mais celle de la maladie.
Le corps est une merveilleuse machine, d’une complexité extrème et que l’on doit respecter.
Mais le respect et l’amour de ce que “Dame nature” nous a donné, n’est pas dans l’air du temps.
Quand l’on réalise qu’un atome est constitué de plus 99% de vide, et que si l’on supprimait le vide qu’il y a autour des noyaux des atomes, la terre pourrait tenir (parît il) dans une sphère de 180m de rayon —->ce qu’il veut dire qu’ un individu ne serait pas visible!!!
Son premier mèdecin, c’est soi-même et cela est carrément impossible pour une grande majorité d’individus.
Plats idustriels, pesticides, vaccins en tout genre, …. sont la nourriture journalièrede la majorité des Français.
Aujourd’hui, c’est les jeunes parents que je plains. Etre obligé de faire inoculer 11 vaccins aux enfants, c’est un génocide organisé.
Et pour eux il est impossible de choisir un mèdecin qui respecte la santé de leus enfants, car la majorité ne sont plus ce que j’appelle des mèdecins, au sens noble du terme.
J’aimerais pouvoir choisir un médecin de famille comme il en existait dans mon enfance à la campagne, mais déjà se faire accepter par un médecin pas trop loin de chez soi est une véritable gageure ! Même des villes moyennes sont de véritables déserts médicaux : les médecins de Challans – par exemple – qui partent à la retraite ne trouvent pas de remplaçants et s’arrêtent purement et simplement nous laissant dans la … mouise ! !
Merci pour vos explications, c’est exactement mon cas, le médecin qui me suis n’écoute pas ce que je ressent, j’ai demandé quelques analyses particulièrement la thyroïde ou autres pistes, réponse négative etc….
Ce qui se passe : digestion difficile, perte de concentration, sensation de brouillard comme être saoul, perte d’équilibre, larmoiement des yeux (très peu à l’intérieur de la maison) la lumière extérieur gêne mes yeux, état second, sommeil difficile, réveil soudain en plaine nuit avec un mal de tête insupportable, sudation en pleine nuit, fatigue physique cette situation est arrivé en début d’hiver 2018. Pourquoi je pense thyroïde, j’ai observé quand bordure de mer je me sent mieux….. que faire changer de médecin qui me suis depuis longtemps ?
Bonjour,
Vous vous sentez mieux en bord de mer, en avez-vous parlé avec votre médecin ? Les médecins n’écoutent plus, ils se fient trop aux examens complémentaires au détriment de la clinique. Un de mes maîtres nous avaient dit : ” quand un patient rentre dans votre cabinet, au 1er coup d’oeil vous devez avoir 50% du diagnostic, le reste ce sont l’interrogatoire et l’examen clinique “. Je riais beaucoup avec les patients, et prenais le temps, car souvent, le fait de parler longuement correspondait à un besoin et une frustration, il n’était pas rare que je sois encore au cabinet à 22h avec un patient qui avait besoin de parler. Je n’étais pas exceptionnelle, nous étions des tas comme ça, nous aimions notre métier parce que nous aimions les gens. Et maintenant, je me dis qu’un jour, fatalement, je tomberai entre les pattes d’un confrère, et j’ai un peu peur. En plus, j’étais….charlatan, pardon…homéopathe, donc mal vue…..
Médecin généraliste médecine manuelle,hypnotherapeute.entierement d’accord avec vos écrits mais ce déclin de la médecine française, l’une des meilleure il y a qqs années….au profit de quoi…
Bonjour, j’ai connu une expérience aussi incroyable que celle décrite dans votre mail mais qui est longue à raconter car elle a durée des années !! et depuis je ne fais plus confiance aux médecins et je ne fais aucun examens préventifs ni vaccins. Je pense que depuis que le serment d’Hippocrate a été supprimé à la FAC de médecine, on a tout compris ! Ce n’est plus le côté humain qui prime mais le côté financier !
Je me suis retrouvé un jour avec un taux de PSA élevé.
On m’a recommandé un “très bon urologue”.
Il me fait un toucher rectal: prostate très irrégulière, taux de PSA élevé, donc biopsie.
Biopsie négative.
L’année suivante, même scénario: 2ème biopsie, négative.
L’année suivante, idem. L’urologue me propose, à la place se la biopsie, un test urinaire.
Test à ma charge. Renseignement pris auprès d’un labo: test pas du tout fiable.
Je décide donc de changer d’urologue.
Le nouveau me fait passer une IRM. Diagnostic: prostate très régulière !!!
J’ai failli tomber à la renverse.
Il ne comprenait pas non plus pourquoi j’avais eu 2 biopsies à 1 an d’intervalle.
Maintenant, à plus de 70 ans, plus de dosage de PSA.
Conclusion: ne pas hésiter à changer de praticien.
Je serais resté avec le même, il aurait fini par m’enlever la prostate !!!
Un endocrinologue m’a traité pendant 10 ans pour un diabète que je n’avais pas (j’avais eu du diabète suite à une forte prise de poids, et un an après j’ai retrouvé mon poids normal et mon hémoglobine glyquée est revenue normale, et ce médecin a continuer à me traiter, heureusement j’ai changer de médecin car le dialogue ne passait pas entre nous, et la nouvelle endocrinologue que j’ai consulté avec mes analyses, m’a de suite annoncé cette nouvelle, par contre mes intestins en ont pris un coup, ça fait un peu plus d’un an que j’ai cessé ce traitement et mes intestins commencent à etre bcp mieux.
Et bien oui… on fait de bonnes études de médecine à l’heure actuelle. La recherche des maladies pour pouvoir bien vendre les medicaments. Personnellement, j’ai souffert de la vessie après avoir été soignée pour une cystite. Je ne prends pratiquement jamais d’antibiotiques et celui-là ma provoqué des brûlures inimaginables dans la vessie. C’est mon homeopathe qui m’a sortie de là apres des semaines de souffrance.
Je suis tout à fait d’accord avec vous .J’ai 72 ans et me porte bien .Je ne ne fais appel à l’allopathie qu’en dernier recours depuis environ 50 ans et mes enfants également mais toutes les médecines sont utiles à un moment ou un autre dans notre vie et elles ont toutes leur raison d’exister…Les grands labos sont la cause des grands dérapages de l’allopathie et comme en tout il faut agir avec conscience…
Bonjour, un jour j’ai emmené ma Maman (94 ans) chez son médecin qui en l’auscultant décèle un soucis pulmonaire. Ordonnance : antibiotique direct et RDV pour une radio… J’exécute le RDV le lendemain et à la lecture de la radio, le radiologue me dit qu’il n’y a rien d’anormal et que à cet âge on constate sur ce cliché une régression des alvéoles pulmonaires liées à l’âge ce qui réduit quelque peu l’aisance de respiration de cette dame âgée, mais rien d’alarmant en soi..
De ce pas je repasse chez son médecin pour parler du diagnostique, et je remets en cause la prise d’antibiotiques du fait que le radiologue m’annonce rien d’alarmant et donc pas d’infections. Le médecin me répond que le radiologue lis une image et nous médecins on analyse un patient ! alors on continue les antibiotiques ! Je faisais office de scandale en remettant en question un diagnostique médical !! Je suis resté “bête” devant cette réponse !! Donc le médecin (certains médecins) à toujours raison, l’avis de spécialiste ne lui convient pas ?? Alors à quoi sert d’exposer une personne de 94 ans à des rayons de radiologie et que valent les commentaires du radiologue sur lesquels je pensais que le médecin s’appuyait ? J’avoue que j’y perd mon “latin” et ma croyance en la médecine ou plutôt en certains médecins !! D’où la difficulté de trouver un bon médecin digne d’une écoute empathique…
J’ai 75 ans,,J’ai consulté au moins 30 médecins tout au long de ma vie.J’ai perdu l’ouïe à gauche J’ai eu 2 cancers du sein… et je suis intoxiquées au métaux lourds labo allemand . ect ect et cette année j’ai gagné le gros.en lisant un article sur sott iode et du jour au lendemain je suis en pleine forme .Il me manquait simplement de l’iode soit par apport insuffisant je ne pense pas.Mais les toxiques mercure plomb fluor bromes ect ect prennent la place de l’iode dans la thyroïde .Renseignez-vous mais les médecins 99% certainement ne veulent rien savoir.Ils regardent seulement les hormones thyroïdiennes Il nous reste internet heureusement.
Merci aux médecins chercheurs américains Abraham ,browenstein et au 3em médecin … et à la journaliste lynn farrow et à son merveilleux livre. il y a des millions de personnes sur terre dans le même cas que moi dont mes soeurs. Ma vie à changé…..merci A défaut d’iode vous pouvez mettre de la teinture d’iode sur votre ventre…. quelque gouttes ….